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Vernissage : Artistes en campagne
A l’occasion des élections législatives 2007, la Galerie 100 Titres en partenariat avec les Brasseurs, le Nova, le Comptoir, El Batia Moûrt Soû et Smart, appelle les artistes, bédéistes, dessinateurs, écrivains, graphistes, illustrateurs, peintres, photographes, sculpteurs à réaliser des affiches et des slogans. Le projet est ouvert aux individus et aux collectifs qui souhaitent, tout au long de la campagne électorale, donner leur point de vue et réagir aux élections à travers une démarche artistique critique, imaginaire, utopique, ludique, drôle... Le Nova exposera une sélection de ces affiches du 10 mai au 10 juin. http://www.artistesencampagne.org/ -
Sílení
Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
Sílení
Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
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Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
Sílení
Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
Alice
Comme le sale gosse qui aime détruire ses jouets, Svankmajer prend plaisir à donner vie sous nos yeux à des objets salis, usagés, abîmés, déglingués. Et quand il décide d’adapter "Alice au pays des merveilles", le lapin blanc devient une vieille fourrure empaillée et le chat du Cheshire un squelette débraillé. Contrairement à celle de Disney, cette adaptation délirante et très marquante n’édulcore pas le sadisme de la blondinette présent dans le livre de Lewis Carroll. L’idée originale de Carrol était bien d’explorer le côté original de l’imagination enfantine, Svankmajer l’a portée à l’écran... Il faut dire qu’"Alice" appartient à sa mythologie depuis longtemps. Preuve en sont deux de ses films précédents, "Jabberwocky" et "Dans la cave", déjà inspirés par "Alice". Mais ce n’est qu’avec ce tout premier long métrage qu’il a réellement osé se mesurer à l’histoire intégrale et originale d’Alice... "Je n’avais pas l’intention de réaliser une interprétation directe ni une illustration de ce livre mais bien plutôt une adaptation qui refléterait les expériences de mon enfance. Je devais affronter également les interprétations d’Alice déjà existantes. (...)+ Punch & Judy -
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Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
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Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
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Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
Ears Open
Appel est lancé aux auteur(e)s afin qu’elles/ils nous fassent parvenir sur cd/cdr/K7 ou MD un enregistrement s’inscrivant dans la création sonore. Ears Open propose régulièrement des écoutes collectives, dans la pénombre, de créations plongeant l’auditrice/eur dans le réel, l’imaginaire, le poétique, le politique... Les enregistrements auront une durée maximale de 10 minutes et devront nous parvenir pour le 12 mai au plus tard avec vos coordoonnées au bureau du Nova (c/o Ears Open 65, Rue de l’Ecuyer - 1000 Bruxelles). -
Ears Open
Appel est lancé aux auteur(e)s afin qu’elles/ils nous fassent parvenir sur cd/cdr/K7 ou MD un enregistrement s’inscrivant dans la création sonore. Ears Open propose régulièrement des écoutes collectives, dans la pénombre, de créations plongeant l’auditrice/eur dans le réel, l’imaginaire, le poétique, le politique... Les enregistrements auront une durée maximale de 10 minutes et devront nous parvenir pour le 12 mai au plus tard avec vos coordoonnées au bureau du Nova (c/o Ears Open 65, Rue de l’Ecuyer - 1000 Bruxelles). -
Sílení
Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
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Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
This is Spinal Tap
1982, Philadelphie, les lumières se lèvent brutalement sur le public en délire... les bras tendus vers la scène, hurlant à l’unisson. Une tête du diable en papier maché suspendue au dessus d’une batterie "Orange London" de 1968 vomi des flammes jaunes sur les premiers rangs. La tension monte de façon exponentielle quand la guitare de Nigel Tufnel déchire la foule et lance le début d’un show magique qui changera pour toujours ceux qui y ont assisté. Bloqués sur 11, les amplis des Spinal Tap (célèbre groupe hard anglais que l’on n’ose plus présenter) sont prêts à répandre aux Etats-unis leur légendaire univers sonore. Ils ont attendu ce précieux moment pour sortir leur nouveau 33 tours "Smell the Glove", un cadeau pour les américains qui risque de bousculer les poncifs du genre... C’est au travers de la caméra du documentariste Marty Dibergi que l’on se glisse dans le quotidien du groupe tout au long de cette tournée mémorable. Un regard vrai qui nous transporte de scènes en back stage, jusque dans leurs moments d’intimité sans jamais se sentir voyeur. Peut-être "le" témoignage dans lequel on retrouve une génération d’artistes du hard rock auquels (...) -
Heavy Metal
Heavy Metal, ce film d’animation l’est déjà par la liste impressionnante de groupes métal que l’on retrouve en vrac dans la bande son : Black Sabbath, Blue Oyster Cult, Cheap Trick, Devo, Donald Fagen, Don Felder, Grand Funk Railroad, Sammy Hagar, Journey, Nazareth... Inspiré de la célèbre bande dessinée française lancée par Dionnet, Moebius et Druillet dans les années 70, "Métal hurlant", "Heavy Metal" est l’adaptation animée de l’équivalent américain de cette bédé. Le principe de base est respecté : une série d’histoires réalisées par un ensemble de dessinateurs aux univers et aux styles différents, où l’on retrouve notamment Richard Corben (à qui l’on doit le fameux "Den"), Angus Mckie, Dan O’Bannon, ou encore Thomas Warkentin... Les sketches se succèdent sans vraiment de cohérence, mais avec pour seuls mots d’ordre : sexe (un petit brin machiste, si, si), violence, science-fiction et Loch Nach... Tout commence lorsque cette immonde lueur maléfique débarque sur terre à bord d’un taxi volant pour s’écraser sur le toit d’une maison isolée ! -
Sílení
Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
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Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
Sílení
Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
Faust
Pour son second long métrage, Svankmajer reviste le mythe de Faust. Son grand tour de force consiste ici à rendre crédible pendant tout un film un argument absurde et à amener le fantastique dans le réel pour créer une tension et un suspense de chaque instant. Deux personnages aux visages énigmatiques, tels des Cerbères, incitent un banal citoyen qui a pénétré dans un théâtre de marionnettes à passer dans un autre monde. En enfilant le costume de Faust, l’homme devient alors acteur de sa propre vie et prend part à un spectacle étrange qui va bouleverser son existence jusque là très morne... Ce qui impressionne dans ce film, c’est qu’il fonctionne avec plusieurs degrés de lecture et sur une sensation d’oppression, d’angoisse sourde et d’inquiétude indécise sans avoir recours au gore boucher comme dans d’autres films de Svankmajer. Celui-ci est plus épuré, l’angoisse et le malaise venant précisément du silence opaque et asphyxiant généré par le film lui-même. Avec l’art de mettre le spectateur à l’épreuve d’une expérience unique et traumatisante, "Faust" donne au spectateur la sensation d’avoir plongé dans les ténèbres et d’avoir approché le diable, le temps d’un film...+ Dimensions of Dialogue -
Sílení
Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
Quay Brothers
Un portrait de Jan Svankmajer à l’oeuvre. Un conte macabre mettant en scène de façon théâtrale des mannequins grotesques et des machines vindicatives. Un hommage à l’écrivain suisse Robert Walser (l’auteur de "Institute Benjamenta"). Un séducteur un peu particulier qui empêche les intrus de pénétrer chez lui. L’adaptation d’une nouvelle de l’écrivain tchèque Bruno Schulz. Une expérimentation sonore et visuelle en quatre volets. L’internement d’une patiente dans un hôpital psychiatrique, sur une partition originale de Karlheinz Stockhausen... Neuf courts métrages pour plonger dans l’univers inventif, étrange, sans concession des deux artisans alchimistes que sont les jumeaux Quay, et dans le travail d’animation minutieux qu’ils bricolent savamment. • The Cabinet of Jan Svankmajer (1984, 14’) • Stille Nacht I (1988, 1’) • Stille Nacht II (1991, 4’) • Stille Nacht III (1992, 3’) • Stille Nacht IV (1993, 3’) • Street of Crocodiles (1985, 20’) • Rehearsals for Extinct Anatomies (1987, 14’) • The Comb (1990, 18’) • In Absentia (2000, 20’) -
Sílení
Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
Ma vie est mon vidéoclip préféré
Show-Chun Lee, une cinéaste-anthropologue taiwanaise, vit et travaille en France. Pour elle, faire un film, c’est un moyen d’action pour changer ce monde. Touchée en particulier par la situation des femmes chinoises clandestins dans notre "eldorado" occidental, elle décide de consacrer un portait à Ren Liping, une jeune fille qui a abondonné tout pour aller à Paris. Elle évoque l’amitié et l’exploitation dans le milieu de l’immigration chinoise, l’arrivée de sa soeur, les inquiétudes de ses parents restés "là-bas" et la monotonie accablante de son travail soumis à des conditions impitoyables dans un atelier de prêt-à-porter. Les immigrés chinois qui "réussissent" dans leur vie, font des clips vidéo lors des grandes fêtes, mariages et naissances. Ces clips, où miroite une vie luxueuse à outrance, sont ensuite envoyés en Chine. Show-Chun Lee nous montre un exemple d’une vie humaine parmi des milliers qui ne correspondent d’aucune façon à la réalité mensongère des vidéo-clips. Ce film, qui évite toute sensiblerie et tout misérabilisme, dénonce la société de consommation avec une puissance rare. Une séance organisée en collaboration avec le (...) -
Faust
Pour son second long métrage, Svankmajer reviste le mythe de Faust. Son grand tour de force consiste ici à rendre crédible pendant tout un film un argument absurde et à amener le fantastique dans le réel pour créer une tension et un suspense de chaque instant. Deux personnages aux visages énigmatiques, tels des Cerbères, incitent un banal citoyen qui a pénétré dans un théâtre de marionnettes à passer dans un autre monde. En enfilant le costume de Faust, l’homme devient alors acteur de sa propre vie et prend part à un spectacle étrange qui va bouleverser son existence jusque là très morne... Ce qui impressionne dans ce film, c’est qu’il fonctionne avec plusieurs degrés de lecture et sur une sensation d’oppression, d’angoisse sourde et d’inquiétude indécise sans avoir recours au gore boucher comme dans d’autres films de Svankmajer. Celui-ci est plus épuré, l’angoisse et le malaise venant précisément du silence opaque et asphyxiant généré par le film lui-même. Avec l’art de mettre le spectateur à l’épreuve d’une expérience unique et traumatisante, "Faust" donne au spectateur la sensation d’avoir plongé dans les ténèbres et d’avoir approché le diable, le temps d’un film...+ Dimensions of Dialogue -
Sílení
Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
Cineketje
Entrons de plain-pied dans l’univers particulier de Jan Svankmajer ! Inspiré par sa version d’"Alice au Pays des Merveilles", Cineketje propose un atelier d’animation 3D aux enfants qui n’ont pas peur de reculer les limites de leur imagination. Accompagnés par Sam et Cat du collectif Boîte à clous, nous allons redonner vie à de vieux jouets et autres personnages fabriqués de bouts de ficelles. Nous en ferons un petit film sûrement aussi étrange que fantaisiste, qui sera projeté lors de la séance publique d’"Alice" qui suit l’atelier. A partir de 8 ans. Inscription : 0477 871 023 (Steph) ou cineketjes@nova-cinema.org -
Alice
Comme le sale gosse qui aime détruire ses jouets, Svankmajer prend plaisir à donner vie sous nos yeux à des objets salis, usagés, abîmés, déglingués. Et quand il décide d’adapter "Alice au pays des merveilles", le lapin blanc devient une vieille fourrure empaillée et le chat du Cheshire un squelette débraillé. Contrairement à celle de Disney, cette adaptation délirante et très marquante n’édulcore pas le sadisme de la blondinette présent dans le livre de Lewis Carroll. L’idée originale de Carrol était bien d’explorer le côté original de l’imagination enfantine, Svankmajer l’a portée à l’écran... Il faut dire qu’"Alice" appartient à sa mythologie depuis longtemps. Preuve en sont deux de ses films précédents, "Jabberwocky" et "Dans la cave", déjà inspirés par "Alice". Mais ce n’est qu’avec ce tout premier long métrage qu’il a réellement osé se mesurer à l’histoire intégrale et originale d’Alice... "Je n’avais pas l’intention de réaliser une interprétation directe ni une illustration de ce livre mais bien plutôt une adaptation qui refléterait les expériences de mon enfance. Je devais affronter également les interprétations d’Alice déjà existantes. (...)+ Punch & Judy -
Institute Benjamenta
Adapté de l’écrivain Robert Walser (en qui Kafka disait avoir trouvé un maître), "L’institut Benjamenta" conte la plongée d’un jeune imbécile appelé Jakob, dans le monde mystérieux des apprentis-domestiques d’un Institut aux pratiques autoritaires. Dans ce théâtre claustrophobique du "rêve que les gens appellent la vie", les pensionnaires - tranquillement lobotomisés à force d’inculquer encore et toujours la même leçon - déambulent comme des fantômes dans d’interminables couloirs... Filmant comme d’autres peignent, par couches successives et dans un noir et blanc poudreux, les frères Quay ont aussi conçu "L’institut Benjamenta" comme un voyage sonore - pourtant presque sans paroles - où foisonnent bruits et murmures ; bribes d’allemand, d’anglais, de français ou d’italien... Ces frères jumeaux du cinéma anglais, mieux connus pour leurs courts métrages d’animation utilisant des marionnettes, effectuent ici leur première incursion dans le monde du long métrage et de l’image réelle. Fidèle au bricolage inventif et à l’imaginaire surréel qui caractérisent leur oeuvre, le résultat est un film impressionniste, impressionnant et qui ne connaît (...) -
Sílení
Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
Résister n’est pas un crime !
A travers les procédures menées par la justice belge à l’encontre de Bahar Kimyongür et de ses camarades dans l’affaire du DHKP-C jusqu’au moment de la Cassation à Bruxelles des jugements de Bruges et de Gand, le ciné-tract interroge la loi anti-terroriste votée dans notre pays en décembre 2003 ainsi que ses conséquences sur les mouvements de contestation sociale et de défense des libertés fondamentales. www.leclea.be -
Open Screen
On a vu beaucoup de gens avec des caméras dans les rues ensoleillées de Bruxelles ces derniers temps... on imagine donc que l’Open Screen de mai sera chargé... raison de plus pour que les films fassent impérativement moins de 15 minutes... par contre ils peuvent toujours être projetés dans n’importe quel format vidéo ou pellicule. Ah oui, et nous parvenir une semaine avant... si possible... merci... 65 rue de l’Ecuyer 1000 Bruxelles... hé hé hé... ben alors... ah ben ça... pffff. -
Open Screen
On a vu beaucoup de gens avec des caméras dans les rues ensoleillées de Bruxelles ces derniers temps... on imagine donc que l’Open Screen de mai sera chargé... raison de plus pour que les films fassent impérativement moins de 15 minutes... par contre ils peuvent toujours être projetés dans n’importe quel format vidéo ou pellicule. Ah oui, et nous parvenir une semaine avant... si possible... merci... 65 rue de l’Ecuyer 1000 Bruxelles... hé hé hé... ben alors... ah ben ça... pffff. -
Sílení
Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
Conspirators of Pleasure
Un des films les moins connus de Svankmajer, montré dans la première année du Nova. "Les conspirateurs du plaisir" dévoile les fantasmes et vices secrets de petites gens apparemment ordinaires. Six personnages - des hommes et des femmes - satisfont leurs désirs fétichistes et sado-masochistes après une série de préparatifs bizarres et compliqués. Leur plaisir semble lié à la préparation plus qu’aux actions elles-mêmes. Mélangeant comédiens, objets animés et trucages mécaniques relevant plus du théâtre que du cinéma actuel, Svankmajer donne libre cours à son imaginaire débridé, pervers, noir, drôle, pour que chacun se livre à ses délirantes fantaisies érotiques. Ce n’est pas un hasard s’il essaye, et fait expérimenter par les personnages de son film, des objets tactiles érotiques qu’il a lui-même fabriqués. Chez Svankmajer, pas de séparation entre les différents domaines de sa création qui agissent en constants vases communicants. A la fois pervers, drôle et parfaitement incongrus, le troisième long métrage de Svankmajer est toujours plus étrange, inventif, débridé... et réussi.+ Virile Games -
This is Spinal Tap
1982, Philadelphie, les lumières se lèvent brutalement sur le public en délire... les bras tendus vers la scène, hurlant à l’unisson. Une tête du diable en papier maché suspendue au dessus d’une batterie "Orange London" de 1968 vomi des flammes jaunes sur les premiers rangs. La tension monte de façon exponentielle quand la guitare de Nigel Tufnel déchire la foule et lance le début d’un show magique qui changera pour toujours ceux qui y ont assisté. Bloqués sur 11, les amplis des Spinal Tap (célèbre groupe hard anglais que l’on n’ose plus présenter) sont prêts à répandre aux Etats-unis leur légendaire univers sonore. Ils ont attendu ce précieux moment pour sortir leur nouveau 33 tours "Smell the Glove", un cadeau pour les américains qui risque de bousculer les poncifs du genre... C’est au travers de la caméra du documentariste Marty Dibergi que l’on se glisse dans le quotidien du groupe tout au long de cette tournée mémorable. Un regard vrai qui nous transporte de scènes en back stage, jusque dans leurs moments d’intimité sans jamais se sentir voyeur. Peut-être "le" témoignage dans lequel on retrouve une génération d’artistes du hard rock auquels (...) -
La Cyclo-Cinémathèque
Trouver une frontière n’est que la moitié du problème. Certaines sont évidentes, barbelées, fortifiées et suréclairées. D’autres sont bien cachées, des frontières invisibles que nous franchissons sans nous en rendre compte, donnant parfois le sentiment d’être étranger chez soi. L’autre moitié du problème est de choisir le moyen de la traverser, avec un visa, une armée ou... à vélo, comme Bill et Sabine. Une manière peut-être de franchir une frontière intérieure. "La Cyclo-Cinémathèque" est une série de films sur la fascination et le pouvoir d’attraction des tracés arbitraires balafrant les paysages, de méditations sur les barrières franchies, sur les murs que nous continuons de construire et sur les horizons qui restent à diviser.+ The Other Side+ And So Sings Our Mechanical Bride+ To the South Was 72 -
Noise Hippies Against All War
Chaos of Sound & Light ! La seule réponse possible au monde aliénant du capitalisme global, à l’existence morne et violente à laquelle nous sommes condamnés. Une rédemption proposée par une nouvelle génération post-psychédélique, une série d’expériences bouleversantes, mais qui s’arrêtent juste avant de vous perdre pour toujours. Un coeur de hippie bienveillant dans une enveloppe de noise fracassante, une petite place au chaud, rien que pour vous, un refuge pour vos sens. Le cinéaste Ben Russell et son comparse musicien dronique Joseph Grimm proposent une sélection piochée dans leurs répertoires et dans ceux de leurs amis de la Résistance hippie-noise. Pour faire battre vos coeurs, de la musique live ou préenregistrée (Lightning Bolt, Mystery Brinkman, Carly Ptak/Nautical Almanac, The Shirelles vs Suicidal Tendencies, Dave Lifrieri/Manbeard). Pour faire danser vos yeux, neuf films dessinés, découpés et mêmes filmés. La délivrance à travers le cinéma, des coeurs en transe, rien que de l’amour radical ! FEATURING : http://www.magiclanterncinema.com/noisetour.htm+ Black and White Trypps Number Three+ Paranoia Trilogy Part One : The Chemical Bath+ Scream Tone+ Echoes of Bats and Men+ The Red and the Blue Gods+ Peace Noise+ 01/06+ The Great Exodus+ L’Eye+ Third Annual Roggabogga Motion Picture -
Sílení
Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
Sílení
Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
Vox
VoX - collectif "vidéo-activiste" démarré à l’initiative du Nova - a l’honneur de vous présenter sa nouvelle compilation, la 7ième, et pour la première fois en DVD ! Venez, c’est l’occasion de de se rencontrer et de discuter ensemble. Et qui sait, peut-être vous aussi vous ferez un film prochainement... www.vox-video.be *> 20:00+ Intervention+ Mardi+ Alien Nation+ Mali d’or+ Les maîtres chanteurs -
Quay Brothers
Un portrait de Jan Svankmajer à l’oeuvre. Un conte macabre mettant en scène de façon théâtrale des mannequins grotesques et des machines vindicatives. Un hommage à l’écrivain suisse Robert Walser (l’auteur de "Institute Benjamenta"). Un séducteur un peu particulier qui empêche les intrus de pénétrer chez lui. L’adaptation d’une nouvelle de l’écrivain tchèque Bruno Schulz. Une expérimentation sonore et visuelle en quatre volets. L’internement d’une patiente dans un hôpital psychiatrique, sur une partition originale de Karlheinz Stockhausen... Neuf courts métrages pour plonger dans l’univers inventif, étrange, sans concession des deux artisans alchimistes que sont les jumeaux Quay, et dans le travail d’animation minutieux qu’ils bricolent savamment. • The Cabinet of Jan Svankmajer (1984, 14’) • Stille Nacht I (1988, 1’) • Stille Nacht II (1991, 4’) • Stille Nacht III (1992, 3’) • Stille Nacht IV (1993, 3’) • Street of Crocodiles (1985, 20’) • Rehearsals for Extinct Anatomies (1987, 14’) • The Comb (1990, 18’) • In Absentia (2000, 20’) -
Kiss Meets the Phantom of the Park
Comme une tournée gigantesque et la vente de millions de disques ne suffisaient pas, les membres de Kiss acceptèrent de tourner un film qui les élèverait au rang de super-héros. Ainsi, en 1978 sort "Kiss Meets the Phantom of the Park", téléfilm où le groupe doit combattre les créatures cybernétiques du professeur Devereaux, l’ingénieur d’un parc d’attractions. Pour renforcer cette idée de super-héros, chaque membre de Kiss possède un talisman magique qui lui donne des pouvoirs. Ace le guerrier de l’espace peut se télétransporter, Peter le chat possède une grande agilité, Gene le démon crache du feu et Paul l’enfant des étoiles émet un rayon laser qui peut contrôler les autres. Nous vous laissons imaginer les effets spéciaux... Le groupe devra tour à tour se battre contre des singes bioniques, des ninjas fous. Costumés comme à leur habitude et chaussés de talons hypra compensés, ils exécutent doubles saltos et autres acrobaties ! Le groupe devra même combattre le faux groupe Kiss qui a pris sa place sur scène et qui interprète une autre version d’"Hotter than Hell" sous la huée du public (héhé, on ne trompe pas les fans comme ça). Malgré des (...) -
Hard Rock Party
Pour la fin de cette session Hard Rock, dans la cave du Nova, la chorégraphie va être simple alors pas besoin de trop répéter avant de venir... Il s’agit de balancer la tête d’avant en arrière et d’entamer au bon moment un solo à la guitare avec ce qui vous passe sous la main (la batterie et la basse sont aussi à disposition) et le reste n’est que variation... Trois grands maîtres de cérémonie ochestreront successivement le bal depuis les platines : Didier et Saïd, DJ’s de l’émission "Mental" sur FM Brussel (106.5) entameront avec un menuet hard core metal bien heavy qui sera suivi par un Sabbath Mater dirigé par Patchouli, grand officier de Rock à Gogo pendant 18 ans à la RTBF. Même si vous n’aimez pas danser, vous pourrez toujours hocher de la tête dans votre coin, c’est meilleur qu’à la maison... -
Sílení
Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...) -
Institute Benjamenta
Adapté de l’écrivain Robert Walser (en qui Kafka disait avoir trouvé un maître), "L’institut Benjamenta" conte la plongée d’un jeune imbécile appelé Jakob, dans le monde mystérieux des apprentis-domestiques d’un Institut aux pratiques autoritaires. Dans ce théâtre claustrophobique du "rêve que les gens appellent la vie", les pensionnaires - tranquillement lobotomisés à force d’inculquer encore et toujours la même leçon - déambulent comme des fantômes dans d’interminables couloirs... Filmant comme d’autres peignent, par couches successives et dans un noir et blanc poudreux, les frères Quay ont aussi conçu "L’institut Benjamenta" comme un voyage sonore - pourtant presque sans paroles - où foisonnent bruits et murmures ; bribes d’allemand, d’anglais, de français ou d’italien... Ces frères jumeaux du cinéma anglais, mieux connus pour leurs courts métrages d’animation utilisant des marionnettes, effectuent ici leur première incursion dans le monde du long métrage et de l’image réelle. Fidèle au bricolage inventif et à l’imaginaire surréel qui caractérisent leur oeuvre, le résultat est un film impressionniste, impressionnant et qui ne connaît (...) -
Conspirators of Pleasure
Un des films les moins connus de Svankmajer, montré dans la première année du Nova. "Les conspirateurs du plaisir" dévoile les fantasmes et vices secrets de petites gens apparemment ordinaires. Six personnages - des hommes et des femmes - satisfont leurs désirs fétichistes et sado-masochistes après une série de préparatifs bizarres et compliqués. Leur plaisir semble lié à la préparation plus qu’aux actions elles-mêmes. Mélangeant comédiens, objets animés et trucages mécaniques relevant plus du théâtre que du cinéma actuel, Svankmajer donne libre cours à son imaginaire débridé, pervers, noir, drôle, pour que chacun se livre à ses délirantes fantaisies érotiques. Ce n’est pas un hasard s’il essaye, et fait expérimenter par les personnages de son film, des objets tactiles érotiques qu’il a lui-même fabriqués. Chez Svankmajer, pas de séparation entre les différents domaines de sa création qui agissent en constants vases communicants. A la fois pervers, drôle et parfaitement incongrus, le troisième long métrage de Svankmajer est toujours plus étrange, inventif, débridé... et réussi.+ Virile Games -
Sílení
Sur la route de Charenton, où il va enterrer sa mère morte dans un hôpital psychiatrique, Jean Berlot s’arrête dans une auberge où il sympathise avec un homme qui se fait appeler le Marquis. Il accepte son invitation de passer quelques jours dans sa propriété, où il découvre qu’une fois la nuit tombée, le Marquis se livre à de biens étranges cérémonies. Sujet à des crises d’angoisse dûes à l’idée de se faire enfermer dans un asile, Berlot finira aussi par accepter la proposition du Marquis de "traiter le mal par le mal"... en effectuant un petit séjour en psychiatrie. Inspiré par la philosophie, les pamphlets blasphématoires et la littérature (et plus particulièrement par deux contes d’Edgar Allan Poe ainsi que le journal tenu par le Marquis de Sade), "Sileni" ("Aliénation") traite de sujets comme la liberté absolue, la civilisation du progrès, la répression et la manipulation, en plongeant dans les méandres de la psychiatrie. S’il reste fidèle à son univers surréaliste, Jan Svankmajer ("Alice", "Faust", "Conspirators of Pleasure", "Otesanek"...) filme ici pour la première fois essentiellement en prises réelles, avec des êtres de chair et d’os. Il (...)
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